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La couche 2

Couche 2

Maintenant que les machines sont reliées entre elles par un procédé physique, il reste à voir comment ces machines s'identifient pour échanger des informations sur le réseau (local). Pour ce faire, en général, chaque machine se voit attribuer une adresse physique, unique sur le réseau, qui permet de l'identifier. Plusieurs solutions sont possibles. En voici 2 exemples qui donnent une bonne idée des façons de procéder.

Pronet-10

Sur un réseau, l'administrateur assigne une adresse (comprise entre 1 et 254) à l'adaptateur grâce à de petits interrupteurs. Pour envoyer des informations chaque interface utilise des trames particulières:



Les champs 1 et 6 contiennent une valeur conventionnelle qui sert simplement à indiquer que ce qui suit est bien des données et non pas du bruit, ou la fin du message.
Les champs 2 et 3 contiennent les adresses du destinataire et de la source du message.
Le champ 4 indique le type du message avec des valeurs conventionnelles (données, jeton,...)
Le champ 5 de longueur variable contient les données proprement dites avec un maximum de 2044 octets.
Le champ 5 sert à faire une vérification minimale.
Le champ 6 peut être positionné par le récepteur pour indiquer le refus de la trame.

Ethernet

Sur ce type de réseau, les adresses physiques sont attribuées directement par le constructeur de la carte. Elle est implémentée directement dans le matériel. Ces adresses sont codées en dur sur 48 bits (ce qui permet de connecter au maximum 2,8*1014 machines !!!).Ce système permet donc de connecter plus de machines ( malgré les limitations données en couche 1) que sur un réseau Pronet-10. Le risque d'avoir 2 adresses physiques identiques sur le réseau est donc nul. Les trames Ethernet diffèrent légèrement des trames Pronet-10.




Champ 1, 2,3 ,4 ,5 voir trame Pronet-10
Champ 6: Champ pour contrôler la validité de la trame. Améliorations d'Ethernet

Amélioration en nombre de stations

Sur un réseau Ethernet, en fonction du câblage utilisé, il existe des limitations soit en nombre de machines et/ou en longueur de câble. Sur un réseau local, on peut cependant dépasser ces limitations grâce à du matériel. L'ajout de ce matériel (actif ou passif) ne modifie pas les principes généraux. En particulier, lorsque l'on parlera d'interconnexion de réseaux, ce matériel sera complètement transparent.

Eléments passifs

Ce type de matériel intervient directement au niveau de la couche 1. Il prend le signal et l'amplifie.
On trouve des répéteurs pour les câblages en 10B5 et 10B2. On ne peut mettre que 2 répéteurs au maximum sur un réseau de type Ethernet.
Sur un câblage 10BT ou 100BT les appareils au centre de l'étoile peuvent être de type passif ou actif.

Eléments actifs
Ce type de matériel est dit actif, car il doit connaître le type des trames envoyées. Ces appareils sont considérés comme une station sur le bus, ils reçoivent des trames et les réemettent sur le second câble si ces dernières sont valides. On peut trouver des ponts (bridge), multiports, ... en 10B5 et 10B2.
En 10 BT, ce matériel n'existe pas, car il suffit d'interconnecter les hubs les uns aux autres.

Amélioration des performances
Le problème d'un réseau Ethernet est qu'à un instant donné, seulement 2 machines (sauf en diffusion) peuvent communiquer ensemble.
Il existe des appareils actifs qui vont permettre de segmenter le réseau physique en petit morceau pour du 10Bx. On trouve des variantes de ponts et de multi ports qui sont dits filtrant. Ils agissent au niveau de la couche 2. En regardant l'adresse de l'émetteur et celle du destinataire (contenues dans la trame) l'appareil peut savoir s'il doit recopier ou non l'information sur les autres câbles.
Le principe en 10BT est différent, car les machines sont sur des câbles différents. L'idée consiste à "ne relier" à un moment donner (durant le passage de la trame) que les câbles des machines concernées. Si plusieurs couples de machines communiquent, l'appareil (un switch) établie plusieurs canaux de communication

 

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